L'immigration mène à la dictature

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Le 16.9.1998, je reçois un coup de fil au bureau: si, si, sur Télé-Bruxelles, un tract du Front Nouveau de Belgique passe en gros plan, aux informations, en boucle, toutes les demi-heures. Un tract qui s'oppose au vote des immigrés, et au financement de l'immigration massive, par la sécurité sociale. En gros plan, le dessin de la musulmane voilée, glissant un bulletin de vote dans l'urne, et le dessin d'étrangers ravis, débarquant en Belgique, pays de Cocagne, pays loukoum.

 

Quelle mouche pique donc la presse francophone, muette à notre égard, depuis l'instauration de la censure en Belgique? C'est tout simple: je suis citée en justice, par les députés belges Mohamed Daïf, Mahfoudh Romdhani et autres Ecolos, par la Ligue des Droits de l'Homme (Etranger?), le Centre d'Action Laïque et le MRAX, représenté par Djamal Zahaf. Ces individus et collectifs me réclament des dommages et intérêts, pour avoir émis une opinion: non au vote étranger, non au financement d'une immigration incessante, par la sécurité sociale.

 

Ils entendent me faire condamner en toute discrétion, me saigner à blanc financièrement, si faire se peut. Bien sûr, ils auraient pu, dans leur toute-puissance, me faire poursuivre au pénal, devant la Cour d'Assises. Mais il aurait fallu demander la levée de mon immunité parlementaire, et cela a déjà échoué une fois. Et il aurait fallu me faire condamner par la Cour d'Assises. Et la Cour d'Assises, c'est un jury populaire. Aucun juré doué de bon sens ne condamnera pour "racisme", un citoyen entendant réserver le droit de vote aux Belges, alors que la Constitution belge le prévoit justement, depuis 1830!!! C'est pourquoi les partis traditionnels totalitaires, entendent remplacer la Cour d'Assises par un tribunal correctionnel. Les politiques y placeront un juge ad hoc, qui condamnera sagement à la chaîne, les Belges émettant une protestation quelconque, à l'égard de l'immigration. 

 

Car c'est une évidence: pour imposer à une population autochtone une immigration massive, une invasion de son territoire, il faut instaurer une dictature. Sinon, la population autochtone proteste. Une invasion armée ne pose aucun problème: en 1940, un fusil Mauser ou une mitraillette Schmeisser vous imposait vite silence. Une invasion plus ou moins pacifique, va déchaîner commentaires et protestations. Alors, il faut imposer silence à la population autochtone.

 

Vous souhaitez vous exprimer publiquement? Désolé, la presse est censurée. Vous voulez participer à un débat, sur le vote des immigrés? Bien sûr, pour autant que vous soyez d'accord sur le principe! Vous souhaitez louer votre appartement à un Belge plutôt qu'à un Sri-Lankais? Un an de prison ou 100.000 frs d'amende. Vous souhaitez engager un Belge plutôt qu'un Nigérien? Idem. Et c'est l'escalade: le député Claude Eerdekens parle ouvertement d'interdire les partis "racistes" (entendez: ses adversaires politiques). Ils n'existeront plus, sauf à poser des bombes, déclare-t-il au journal "Le Soir". L'intention est candide: pousser le Belge au désespoir, pour l'abattre ensuite.

 

Oui, Claude Eerdekens, pour réduire les Belges au silence, il faut instaurer une dictature. Vous avez parfaitement raison. Si la censure n'existait pas, si la liberté d'association, de réunion, d'expression était rétablie, les Belges balaieraient vite un parti comme le vôtre, le PS. Un parti abritant, au vu et au su de tout le monde, des maffieux, des corrompus, des assassins, des proxénètes, des pédophiles, des truqueurs d'élections démocratiques. Les Belges mettraient au pouvoir un parti neuf, se souciant de la Belgique et des Belges. Un parti neuf, remuant, enthousiaste, porteur d'espoir et d'avenir: le Front Nouveau de Belgique.

 

 

MB Député fédéral,

Ancien Conseiller à la Cour du Travail,

Président du Front Nouveau de Belgique

 

  (Bastion n°27 - octobre 1998)

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