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Belgique, terre d'asile? Malgré nous.

 

Bruxelles, Florennes, Rixensart, Rendeux, Ransart, Erezée, Arlon...nos villes et nos villages sont touchés, les uns après les autres, par l'arrivée massive de réfugiés. Qui n'en sont pas. Les chiffres le démontrent. Qui sont-ils? D'où viennent-ils? Que coûtent-ils? Que deviennent-ils? A la lecture du très officiel "Dixième rapport annuel du commissaire général aux réfugiés et aux apatrides", on découvre une chose stupéfiante. Sous le couvert de la Convention de Genève, un Etat belge en état de décomposition, couvre un trafic d'enfants et de femmes, et alimente le marché noir du travail. Un scandale qui passe inaperçu, dans le tam-tam fait autour de "ces pauvres réfugiés, que les Belges doivent accueillir, le sourire aux lèvres".

 

90,1% des réfugiés sont de faux réfugiés!

 

Le Commissariat général aux réfugiés fête son 10 ème anniversaire. Il a, en 10 ans, traité 135.103 demandes d'asile. Le taux de reconnaissance, comme réfugié, est de 8,9%. Autrement dit: 90,1% des réfugiés sont de faux réfugiés, selon les autorités belges elles-mêmes. Nul doute qu'elles fausseront bientôt les statistiques, pour les rendre plus présentables. En 1993, 26.421 réfugiés ont posé leur baluchon en Belgique. En 1997, 11.602 "seulement". En 1998, le nombre de candidats est passé de 1000 par mois en début d'année, à 2000 cet été et 3000 à ce jour. Autrement dit, 36.000 sur une base annuelle. Du jamais vu. Et un triplement des budgets en perspective.

 

D'où viennent-ils?

 

Le Commissaire aux Réfugiés s'en flatte. De 113 pays différents. Et ils parlent 140 langues. Ils viennent du Congo, de Turquie, d'Inde, du Ghana, du Pakistan, du Kosovo, du Nigeria, d'Angola, du Bangladesh. Ils viennent de partout. Demain, ils seront dans votre jardin.

 

Premier accueil

 

Pendant l'examen de la recevabilité de leur demande, les candidats sont accueillis dans des centres ouverts. Ouverts par l'Etat, ou par la Croix-Rouge. Des centres tels le Petit Château, Florennes, Rixensart, et demain Rendeux, Ransart, Woluwé-Saint-Pierre, Erezée, Arlon... Ils y sont logés, chauffés, nourris, blanchis. On pourvoit à leurs distractions et on leur donne 150 francs d'argent de poche par jour. Ensuite, pendant l'examen au fond de leur demande d'asile, ils seront égaillés à travers tout le pays. C'est le CPAS local qui leur donnera l'équivalent du minimex, payera la garantie locative, la garantie d'ouverture des compteurs de gaz, d'électricité, le loyer, et leur assurera des soins médicaux gratuits. Comme le dit pudiquement le rapport, la loi du 8.7.1976 organise cette aide sociale, "dont ni le taux ni le montant ne sont fixés par la loi". Autrement dit, il n'y a pas de limites.

 

Que vous coûtent-ils?

 

Il y a des jours, quand on a une petite pension de 20.122 francs par mois, et qu'on a un peu faim, et qu'on a un peu froid, et qu'on ne peut pas acheter de chaussures chaudes, il y a des jours où se demande, si on ne serait pas mieux loti, comme réfugié que comme pensionné belge. On dit qu'il n'y a pas d'argent pour augmenter les pensions des indépendants, par exemple. Y a-t-il de l'argent pour les candidats réfugiés, dont 90% sont de faux réfugiés? Mais oui! Voyez plutôt le Budget Général des Dépenses de l'Etat Belge, pour 1999. Et multipliez le tout par 3, car le nombre de réfugiés a triplé depuis l'élaboration du budget. Le tout fait, avant ladite multiplication : 7 milliards 434,5 millions. Voyons quelques postes en détail. Personnel statutaire: 10,3 millions. Personnel contractuel: 203,1 millions. Un vrai fromage à socialistes, même la RTBF en a parlé. Car les politiciens donnent des emplois dans ces centres, à leurs protégés! Frais de fonctionnement des centres d'accueil: 348,3 millions. Allocations, entre autres à la Croix Rouge: 993,7 millions!!! Le Directeur Général de la Croix Rouge, Philippe Laurent, se retrouve à la tête d'une véritable mine d'or. Subsides aux CPAS: 5 milliards 568,9 millions. Comme quoi, ce n'est pas l'argent qui manque en Belgique. Simplement, il n'est pas pour les Belges nécessiteux.

 

Les billets roses

 

Les riverains des centres d'accueil vous le diront: les réfugiés s'ennuient le dimanche. Pour les distraire un peu, le Commissariat a imaginé, à leur intention, des billets roses. Qui leur permettent de faire un aller-retour au pays natal. Où ils sont persécutés. Mais on fait comme s'ils ne l'étaient pas, le temps du voyage. Ensuite, on fait comme s'ils l'étaient, quand ils sont de retour en Belgique. Vous ne me croyez pas? Je l'avais prévu: voyez donc la page 43 du rapport.

 

Les filières de pédophilie

 

Alors là, on n'en croit pas ses yeux. Le commissaire dit sans rire (et sans pleurer) dans son rapport, au chapitre des demandeurs d'asile mineurs non accompagnés: "En 1997, 1.147 mineurs d'âge ont introduit une demande d'asile. Parmi ceux-ci, 59 avaient moins de 5 ans, 88 étaient âgés de 5 à 10 ans...". La Belgique adopte des bébés-réfugiés politiques, en quelque sorte. D'où viennent-ils? Le plus souvent, d'Afrique noire: Congo, Rwanda, Burundi, Nigéria, Angola... mais aussi du Kosovo, de Macédoine, de Roumanie, de Russie. Que deviennent-ils? Dans le meilleur des cas, on les éduque à nos frais, puis on les régularise. Et sinon? Accrochez-vous: ils disparaissent, tout simplement. Ainsi, plus du tiers des mineurs hébergés au Petit Château en 1997 ont disparu, purement et simplement, sans laisser de traces! C'est dans le rapport, page 75. Et le commissaire de dire: "La question est de savoir ce qu'ils sont devenus" (sic). En fait, il a sa petite idée: garçons et filles Russes sont pris dans un réseau de prostitution, des fillettes albanaises sont enlevées, violées et prostituées de force, et de jeunes Turcs sont mis au travail dans des boulangeries en Flandre. On croit rêver. On ne rêve pas: c'est en page 72. Voici l'Etat belge couvrant, sous la chape de la Convention de Genève, un trafic d'enfants, organisé sous ses fenêtres.

 

Les filières de prostitution

 

Les femmes ne sont pas mieux loties. Du Nigeria, du Ghana, du Liberia, du Rwanda, elles sont introduites ici comme "réfugiées politiques". Puis mises en vitrine, ou sur le trottoir. A Anvers, le bourgmestre garde jalousement une liste de 320 prostituées, en cours de procédure d'asile. Oh! Le Commissaire trouve cela triste: "Le Commissaire général ne peut pas rester passif lorsque des demanderesses d'asile sont attendues et kidnappées brutalement par leurs souteneurs à la sortie de leur audition au Commissariat général". Il ne reste pas passif: il attire l'attention des autorités. Sic. L'Etat belge se comporte, sous le couvert de la Convention de Genève, comme un véritable Etat souteneur, d'enfants et de femmes. Pour le reste, il alimente le marché noir du travail, dans le secteur du bâtiment, de l'horeca et de la cueillette de fruits. Un Etat souteneur, un Etat négrier, qui agit sous le couvert d'une Convention de Genève, totalement dévoyée, détournée de son but. Et qui impose ainsi, à la population belge, des dizaines de milliers de faux réfugiés. En traitant de "racistes", ceux qui n'en veulent pas. L'Etat belge est proche de l'état de décomposition. Il est urgent de rassembler nos forces, pour restaurer un Etat de droit, régi par une éthique, et agissant au mieux des intérêts de la Belgique et des Belges.

 

MB Député fédéral,

Ancien Conseiller à la Cour du Travail,

Président du Front Nouveau de Belgique

  (Bastion n°29 -Décembre 1998)

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