Fin juin, on devait constater l’échec de la conférence belgo-marocaine sur les rapts parentaux. Qui n’a en effet pas entendu parler de ces rapts d’enfants lorsque des couples mixtes (européen-musulman) se séparent. Faut-il préciser que c’est conforme à la Charia (l’enfant doit impérativement être élevé dans la religion musulmane) et à la coutume marocaine (c’est le père qui est le « propriétaire » de l’enfant). « Trop de promesses non tenues, rien que de vagues intentions », commentait la RTBF. Notre premier ministre s’est fendu d’une lettre aux autorités marocaines pour rappeler « les droits égalitaires des parents et des enfants »… Si l’intention est bonne, sa méconnaissance du dossier semble totale : ce n’est pas avec de bonnes paroles que l’on imposera une solution à des partenaires qui ne veulent aucune concession, mais par la fermeté et des pressions concrètes. Et dire que Louis Michel veut intégrer l’Afrique du Nord dans l’Union Européenne… ce serait plutôt l’Union Européenne à l’Afrique du Nord !

 Un mois avant la rentrée scolaire, certaines écoles refusaient d’inscrire de nouveaux élèves, elles affichaient complet ! Par contre d’autres écoles restaient désertes, notamment à Molenbeek-St-Jean. Le motif a peine évoqué dans nos médias : les Belges se bousculent pour inscrire leurs enfants dans des écoles sans immigrés, tandis que les écoles multiculturelles n’attirent guère les Belges de souche. Pas bêtes les parents ! Et une responsable (choisie sans doute par la télévision pour ses opinions) de regretter le choix des parents, et presque de regretter que ceux-ci aient encore le droit de choisir l’école de leurs enfants… 

 Quelques jours plus tard, on apprenait que le mensuel Test-Achats, bien connu des consommateurs avait lancé une enquête sur le degré de satisfaction des parents et enfants à propos des établissements scolaires. Le « monde scolaire francophone » (lisez les syndicats d’enseignants) s’est opposé à cette enquête, pourtant acceptée du côté néerlandophone. Motif du refus francophone ? « un classement éventuel ne ferait que renforcer la dualisation entre les établissements prétendument d’excellence et ceux que l’on désigne comme écoles-poubelles » (comprenez entre établissements où les élèves sont majoritairement des Européens de souche et ceux majoritairement immigrés). Pourquoi les néerlandophones acceptent-ils ? Explication fournie par La Libre (Belgique) : les écoles flamandes ont un public beaucoup moins hétérogène que les écoles francophones (comprenez qu’il y a moins d’immigrés).

 Le ministre Flamand J. Sauwens (Volksunie) propose de former des francophones et de leur apprendre le flamand pour aller travailler en Flandre. Il y a actuellement en Flandre un déficit de 20.000 travailleurs. Les emplois non satisfaits : les emplois du bâtiment, menuisier, carrosier...  Etc. La RTBF a immédiatement reproché à Mr Sauwens d’appliquer le « principe de la préférence nationale », plutôt que de tenter de recruter en dehors de l’Union européenne. Mais la menace d’un parti anti-immigration en Flandre n’y est-elle pas pour quelque chose ? Lorsque nous aurons du côté francophone un FNB puissant, les partis traditionnels feront sans doute plus attention aux souhaits des électeurs...

 La Sabena perd 3,35 milliards au premier semestre 2000, sur un chiffre d’affaires de 47,49 milliards! En cause, officiellement, le prix du carburant, et le cours du dollar. Mais le groupe suisse SAIR reste bénéficiaire.  On s’était bien gardé d’en parler quand le gouvernement a cédé ses parts et laissé les Suisses devenir majoritaires de notre compagnie nationale. A ce moment, certains cadres avaient accusé les Suisses de « siphonner » notre compagnie : personne ne les avait crus. Maintenant, il y a de la restructuration dans l’Air… On ne parle pas encore de licenciements, mais…

Pourquoi est-ce que ce n’est pas sabena qui a absorbé Swissair, in illo tempore, les deux compagnies étaient de taille fort comparable…

Louis De Poortere, fabriquant de tapis wallon de renommée mondiale est en faillite. Un passif de plusieurs milliards. La région de Mouscron est sinistrée, ce n’est pas la seule faillite du secteur : Decowave a également déposé son bilan. Pourtant la région wallonne faisait partie de l’actionnariat depuis 1997 pour quelque 240 millions (27% du capital), en plus des 300 millions investis en 1993. Ceux-ci sont bien entendu perdus dans l’aventure. Le représentant de la Région au conseil d’administration ne siégeait plus depuis quelque temps et venait de démissionner : c’est pour le moins suspect ! D’autant plus que les 240 millions n’ont pas été utilisés à ce à quoi ils étaient destinés (une nouvelle ligne de production), mais à racheter des stocks de l’actionnaire majoritaire, le groupe français Balsan ! 500 personnes ont perdu leur emploi, en plus des 300 déjà touchés par une récente restructuration. Le groupe Balsan est bien entendu candidat à la reprise :  on efface l’ardoise, on restructure et on recommence… Balsan a d’ailleurs emporté illégalement la comptabilité… De là à se poser la question, Balsan n’a-t-il volontairement mal géré l’entreprise, avec la complicité tacite de la Région ?

Une étude récente du Crisp le confirme : 85 des 100 premières entreprises wallonnes sont dans des mains étrangères. Cela représente 7 emplois wallons sur 10. Il y a peu de grands investisseurs wallons. Les grands groupes industriels ont été démantelés ou rachetés par des sociétés étrangères. Peu de nouveaux groupes importants se sont créés. En l'absence de véritables investisseurs wallons, c'est la Région wallonne elle-même qui a investi. Elle procure ainsi environ un tiers de la main d'oeuvre dans les entreprises de plus de 3 mille personnes…

En cette année, la RTBF et d’autres médias subventionnés ont décidé de célébrer à leur manière le quarantième anniversaire de l’indépendance du Congo. Comme on pouvait s’y attendre, il s’agit essentiellement de mettre en exergue le mauvais comportement des colons blancs, de culpabiliser les jeunes générations qui n’ont pas connu notre belle colonie et d’attirer la responsabilité de tous sur la lourde responsabilité collective d’une Belgique profiteuse, raciste et imprévoyante. Un bon conseil : si vous entendez une telle émission, et que vous n’avez pas vu le Congo avant 60 et ce qu’il est devenu, changez de chaîne !

« Le guide du musulman » est actuellement largement diffusé dans le monde et via Internet. Extrêmement intéressant ! Ce qui frappe surtout, c’est l’absence totale de spiritualité et un ritualisme extrêmement détaillé et purement formel. Et on apprend, par exemple, comment aller à la toilette et comment s’y essuyer (trois fois et jamais de la main droite…)…

« Il n'est pas interdit de contracter un mariage à durée déterminée avec des femmes juives ou chrétiennes, et la précaution recommandée veut que l'on s'abstienne de contracter un mariage permanent avec elles ». Pour information, un « mariage à durée déterminée » peut ne durer qu’une heure, et on peut se « marier » avec des filles de moins de neuf ans !

On y apprend également qu’un animal abattu doit absolument continuer à bouger… et que sa moelle épinière ne peut être tranchée. Par contre, on ne peut lui enlever la peau tant qu’il n’a pas rendu son dernier soupir… !

Ou encore : on peut utiliser le corps d’un incroyant pour faire une transplantation à un musulman, mais pas l’inverse…

LE GUIDE DU MUSULMAN, Abrégé des principaux décrets religieux des juristes musulmans contemporains, Edité et traduit par Abbas AHMAD Al-Bostani. Éditeur: La Cité du Savoir Abbas Ahmad al-Bostani C.P. 712 Succ. (B) Montréal, Québec, H3B 3K3 Canada ISBN: 2-9595157-0-3

Le 22 décembre 1998, décédait Semira Adamu, dans un regrettable accident. Si elle ne s’était pas rebellée à chaque tentative d’expulsion, elle serait toujours en vie : les défenseurs des étrangers en séjour illégal sont largement responsables de ce décès pour l’avoir poussée à résister. Semira était en Belgique sous un faux nom (elle s’appelait Esther) et y serait venue en toute illégalité semble-t-il pour se prostituer… On a décidé de traduire en justice les trois gendarmes qui étaient chargés de l’expulser. Ils n’ont pourtant fait que suivre les ordres et appliquer les consignes (la technique du coussin). Quel empressement : le parquet n’est-il pas surchargé et ne renonce-t-il pas, faute de temps et de moyens à poursuivre les délinquants étrangers ? Toujours deux poids, deux mesures, selon que vous êtes Belges ou étrangers…

En Allemagne, l’appel lancé par le gouvernement pastèque (vert-rouge) aux informaticiens étrangers n’a pas eu beaucoup de succès. On peut s’en féliciter. Mais on aurait pu s’y attendre. Avec Internet, un informaticien peut effectuer son travail à peu près partout dans le monde : il reçoit ses directives et transmet le résultat de son travail par E-Mail et le tour est joué. Il peut d’ailleurs percevoir son salaire n’importe où dans le monde (dans un paradis fiscal notamment) et le dépenser dans son pays où le coût de la vie est très faible et sans être pour le moins du monde dépaysé. Quand on vous dit que l’on immigre plus en Europe pour travailler, mais pour bénéficier d’allocations sociales...

Alors qu’en dix ans, le niveau de vie a considérablement augmenté en Flandre et dans une moindre mesure en Wallonie, Bruxelles stagne et est devenue la région la plus pauvre du pays. Toutes les villes (sauf Gand) semblent d’ailleurs devenir des poches de pauvreté par rapport aux communes qui les entourent. La commune la plus pauvre de Belgique : Saint-Josse-Ten-Noode, qui est comme par hasard la commune qui a la plus forte densité d ‘immigrés. Les immigrés se concentrent dans les villes, où le contrôle social est moindre, et où ils se regroupent par ethnie. La souplesse avec laquelle le CPAS octroie des allocations a une influence déterminante. Et comme par hasard, ces communes connaissent aussi le plus haut taux de chômage... Précisons que les chiffres utilisés sont les chiffres officiels et ne tiennent pas compte de l’économie souterraine. Les immigrés rapatrient en effet une part non négligeable de leurs allocations : ceci constitue en effet la premiere source de revenus du Maroc ! ! !

Les trois quart de la drogue consommée en Belgique proviendraient de Turquie, soit en tant que producteur, soit en tant que pays de transit. Les autorités turques auraient décidé de lutter contre cet état de fait. On peut sérieusement en douter : il s’agit d’une sérieuse source de devises pour le pays, qui n’a toujours pas abrogé certaines mesures favorisant explicitement, pour ce motif, le blanchiment d’argent… Qu’ils commencent d’abord par là ! Et on veut faire rentrer ce pays dans l’Union Européenne ? Les marchands de mort doivent se réjouir !

Fehriye Erdal est cette jeune terroriste turque arrêtée à Knokke dans un appartement bourré d’armes et d’explosifs. Elle est accusée par la Turquie de terrorisme et de l’assassinat d’un homme d’affaires. Candidate réfugiée politique, elle a été refusée du fait qu’elle n’avait introduit sa candidature que longtemps après son arrivée en Belgique. Après un bref séjour à la prison de Bruges, les autorités belges ont libéré la jeune criminelle, suite à une grève de la faim. Mise en résidence surveillée, elle a poursuivi sa grève de la faim : ses avocats ont négocié avec le Ministère de l’Intérieur ses conditions de résidence. La Belgique refuse d’extrader la terroriste au vu des motivations politiques des faits qui lui sont reprochés. Il est question de lui trouver un pays d’accueil. On croit rêver : rien que pour les faits dont elle s’est rendu coupable en Belgique, Erdal mérite la prison. Elle y serait d’ailleurs en sécurité, n’est-ce pas ce qu’elle exige ? Un éminent professeur belge de droit international, Eric David, a fait savoir que la Belgique avait l’obligation de juger la criminelle pour les faits qu’elle a commis en Turquie. Mais Erdal est à la fois turque et d’extrême-gauche : deux causes d’excuses déterminantes dans notre pays ! Gageons qu’un nationaliste belge ne bénéficierait jamais d’un tel traitement de faveur…

La presse chante les louanges du champion de course à pied « belge » Mohammed Mouhrit. Nous ne mettrons pas en cause les qualités de sportif de Mouhrit, au demeurant plutôt sympathique. Mais nous nous interrogeons sur sa nationalité réelle. A notre connaissance, Mouhrit est resté Marocain, même si on lui a fait cadeau de la nationalité belge. Il réside quelque dix mois par an au Maroc, parce que les conditions d’entrainement y seraient meilleures. Il y court d’habitude avec un maillot rouge brodé d‘or aux armes du Maroc...regardez la télévision marocaine ! Mais la presse sportive belge évite de le montrer dans cette tenue.  Qu’a-t-il de réellement belge, sinon une nationalité administrative. « Je garde de merveilleux souvenirs de mes passages à Bruxelles » (sic !) confie-t-il. Il est vrai que ce sont les Belges qui financent son entrainement. Mais notre nationalité en est-elle réduite à cela ?

Tout le monde a entendu parler des difficultés rencontrées par le Vlaams Blok pour faire distribuer ses tracts par « La Poste – De Post », et ce malgré les dizaines millions de subventions dont il dispose. « Belgique Diffusion » refuserait également de distribuer la publicité électorale des séparatistes flamands. Cela n’empêche pas les médias de ne parler que du Vlaams Blok qui est présenté comme une victime du système, ce qui lui vaut en fait une large publicité gratuite dans nos médias subventionnés…  [...]

Dans une société où la connaissance joue un rôle déterminant et où « l’immatériel » prend le pas sur le matériel, le niveau de recherche scientifique est un bon indicateur des perspectives d’avenir. Première inquiétude : l’Europe dépense beaucoup moins en recherche et développement (environ 1,8% du PIB) que les Etats-Unis (2,8%) et le Japon (2,9%). Seconde inquiétude, la Belgique se situe en dessous de la moyenne européenne (1,6%), mais surtout, ce chiffre est obtenu en comptabilisant tous les postes qui de près ou de loin ont un rapport avec la recherche : il s’agit plus de paraître dans les chiffres que de mener une réelle politique en la matière ! Troisième inquiétude : Les chiffres européens sont à la baisse tandis que les USA et le Japon voient leurs chiffres progresser… Mais il est vrai que l’Europe et la Belgique préfèrent augmenter leur budget de coopération au développement, qui sont proches de zéro au Japon et aux Etats-Unis. Qui est responsable ? Philippe Busquin, commissaire européen chargé de la recherche scientifique et Charles Picqué, ministre des affaires économiques et de la recherche scientifique et Yvan Ylieff commissaire à la recherche scientifique. Trois socialistes…

Le parti islamiste NOOR (la lumière), compte se présenter aux élections communales. Il s’était déjà présenté lors des dernières élections législatives. L’examen du programme de NOOR laisse transparaître les points suivants :

1. Une démagogie certaine (suppression de quasi tous les impôts : qui va payer ? Mais peut-être s’agit-il des seuls musulmans ?)
2. Une majorité de points auxquels la plupart des membres du FNB souscriront sans doute (peine de mort, protection de la famille, respect du  3^ième âge, retour à l’état unitaire, protection de l’environnement, nourriture de qualité, impartialité des médias… Etc)
3. Des points typiquement musulmans (pas de mixité, suppression de l’intérêt bancaire…) ou multiculturels (lutte contre le racisme, droit de vote pour tous…)

Ne vaut-il pas mieux voter pour NOOR que pour les quatre partis traditionnels ? Cela pourra peut-être réveiller les Belges et cela ne peut être pire que les collaborateurs qui nous gouvernent !