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Razzia sur Paris

   

Paris, 27 janvier, 15h30'. Des hordes de "jeunes", par centaines, déferlent dans les couloirs du centre commercial de La Défense. Masqués d'écharpes et de cagoules. Armés de haches, de couteaux, de battes de base-ball. Et le pillage commence. Ils attrapent tout ce qui leur tombe sous la main. Les commerçants baissent à la hâte les grilles métalliques, enfermant clients et vendeuses. Les clients cherchent vite un abri, avant que le dernier volet ne se baisse. Puis, les pilleurs se scindent en deux bandes rivales, c'est l'émeute. Il faut une compagnie de CRS, pour en venir à bout. Les "jeunes" sont originaires de la banlieue ouest de Paris, de la crapule, assure la presse subsidiée: une nationalité comme une autre. "Des boules de haine", lancent les clients. "L'enfer", disent les autres. En fait, une simple razzia, comme nous en connaîtrons de plus en plus. Razzia est le mot arabe pour attaque. Une incursion soudaine en territoire ennemi, on emporte butin et captifs. Le Coran est basé sur la razzia, à l'époque, des tribus juives ou chrétiennes. Le prophète Mohammed y excellait. Le Coran a simplement fixé les relations entre les musulmans conquérants et les populations rançonnées ou conquises. Pas de surprise: la terre entière appartient à Allah. Un territoire encore insoumis à l'islam est un dar-al-harb, une terre de la guerre. Le harbi, ou indigène, n'y a aucun droit, son sang et ses biens appartiennent au musulman. Pourquoi personne ne voit-il le lien entre l'islam et la criminalité croissante à l'égard des populations indigènes d'Europe? Le Belge ou le Français a le droit de savoir qu'en fait, il est un harbi, pour le musulman immigré.

 (Bastion n°50 de Février 2001)

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