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Dictature multiraciale et pensée magique (1)

C’est un fait qui semble, désormais, acquis : nous nous acheminons irrémédiablement vers la dictature multiraciale.

Cela n’a rien d’étonnant. Depuis Aristote, on sait que l’une des conditions d’existence de la démocratie politique est l’homogénéité culturelle. Il ne faut pas être grand politologue pour le comprendre. Sans un accord sur les valeurs fondatrices de la cité, le système de décision par vote majoritaire ne peut plus fonctionner. Un simple exemple1 suffit à vérifier cette affirmation.

Imaginez un conseil communal multiethnique composé de 13 membres. Parmi ceux-ici on dénombre : 6 Belges de souche, 6 Belges de papiers - islamistes de leur état – et 1 sub-saharien de confession animiste2.

La question à l’ordre du jour porte sur l’allocation du budget culturel. Les Belges de souche voudraient financer l’association « Godefroy de Bouillon » et son défilé traditionnel commémorant les croisades. Pour leur part, les Belges de papiers entendent soutenir l’association fondamentaliste « Inch Allah » et ses actions d’apprentissage du coran en faveur des jeuuunes. Le conseiller animiste ambitionne d’organiser une ZETeNIK parade avec un défilé de totems phalliques sur fond de tam-tam. Se sentant discriminé par le reste du conseil, il n’a pas inscrit son projet à l’ordre du jour.

Un premier vote conduit à l’impasse : 6 voix pour Godefroy, 6 voix pour le coran et une abstention. La majorité requise, de 7 voix, n’est pas atteinte.

Dans les coulisses, les tractations commencent. Pour les élus de souche, il n’est pas question de soutenir les ambitions libidineuses de l’animiste. Ils proposent un arrangement aux élus islamistes en tablant sur l’austérité apparente de leurs mœurs : 50/50 et rien pour le sub-saharien. Les islamistes font durer les palabres. Il n’est pas dans leur intention d’aboutir à un accord kif-kif alors qu’ils peuvent rafler la quasi-totalité du pactole fiscal.

Le temps passe. Les élus de souche s’impatientent. Les prochaines élections communales approchent et les électeurs de souche s’irritent de ne pas recevoir leur subvention annuelle. En outre, ils menacent de voter FNB si le spectacle n’a pas lieu à la date prévue. Les élus de souche pressés par leur base proposent un nouveau compromis 40/60. Après tout, en fils des colons exploiteurs, ils doivent bien cette petite concession aux descendants des éternels exploités.

Soudain, sous les plafonds gothiques de l’hôtel de ville, un miracle se produit. Le porte-parole et interprète des conseillers islamistes fait savoir aux élus de souche que grâce à Allah et à son prophète – PSL - tout est arrangé.

Le second vote a lieu sur-le-champ. Et, divine surprise… par 7 voix pour et 6 contre, 85% du budget sont alloués à l’association coranique et 15% à la ZETeNIK parade.

Les élus de souche, gros-jean comme devant, déclarent à leurs électeurs qu’ils ne comprennent vraiment pas ce qui s’est passé3. Pourtant, s’ils avaient été mieux avertis des méthodes de conquête du pouvoir prônées par le coran, ils n’auraient pas été étonnés de voir la vertu islamique s’allier au vice animiste4. Mais, laissons-là nos dindons de cette farce fonctionnelle pour en tirer les leçons sociologiques qui s’imposent.

En premier lieu, il convient de constater que lorsque la société est éclatée, les buts sociaux divergent. Les coûts de transaction des décisions politiques augmentent5. Dans notre exemple, nous avons vu que le premier vote avait conduit au blocage de l‘institution communale. Quant au second vote, il n’a été obtenu qu’à la suite de négociations stériles où finalement la minorité islamiste s’est alliée à la super-minorité sub-saharienne contre la minorité de souche. Ceci met en évidence que lorsque les objectifs poursuivis par les différents groupes ethniques en présence ne sont plus conciliables, les tenants du pouvoir ne sont plus en mesure de s’exprimer au nom de l’intérêt général. Le discours politique tend, alors, à la schizophrénie. Il n’a plus d’autres fins possibles que la justification du système en lui-même6.

Par ce biais, la pensée magique va devenir la substance même dudit discours. Ainsi, un élu municipal français a-t-il récemment déclaré : « L'étranger n'est pas un ennemi, surtout quand il est Français7». Ce propos traduit la dérive pathologique d’un système en mal de justification idéologique8. Chez nous, il aurait pu être tenu par notre ministre des affaires étranges. Nous lui proposons, d’ailleurs, de l’adapter à son fond de commerce islamophile et de le faire graver au fronton du parlement. Cela donnerait la belle devise suivante : « L’étranger islamiste n’est pas un ennemi, surtout quand il est Belge ». Néanmoins, si Louis Michel préfère quelque chose de plus court, nous pouvons, également, lui suggérer : « Les pseudo-races n’existent pas9». Mais, trêve de crime-contre-la-pensée dominante, et revenons au cœur de notre sujet.

Il est une autre raison pour laquelle on peut soutenir que la pensée magique est consubstantielle à une société multiculturelle et multiethnique : c’est  que dans une telle société10, la rationalité sociale n’existe plus.

Qu’est-ce, en effet, que la rationalité sociale ? Si ce n’est l’accord sur les procédures nécessaires à la réalisation d’objectifs communs ? Or, nous l’avons vu, dans une société multiethnique il n’y a plus d’objectifs communs. La confusion des objectifs conduit non seulement à la confusion mentale des politiciens, mais aussi à une allocation de moins en moins efficace des dépenses publiques. Effectivement, il n’existe plus de critères communs pour en apprécier la valeur.

Dans le même ordre d’idées, les résultats sociaux du système deviennent imprévisibles car les coalitions d’intérêts ethniques se forment au gré des circonstances.

Dans notre exemple, les élus communaux de souche ne s’attendaient pas à être mathématiquement évincés par les mécanismes de la démocratie politique. Pourtant, c’est bien ce qui se passe quand on assiste à la substitution d’une population par une autre11. De surcroît, il devient possible d’organiser, par le truchement du vote majoritaire, la confiscation des richesses d’un groupe ethnique en faveur d’un autre12. Certes, c’est déjà le cas au nom de la justice sociale. Mais, il faut s’attendre à une accentuation de cette tendance sous la pression démographique et politique croissante des groupes allogènes à forte solidarité ethnique13.

Ce phénomène sciemment dissimulé à l’opinion publique crée, toutefois, dans l’inconscient collectif, un fort mécontentement politique. Or, ce ressentiment fragilise les positions occupées par les élites du système. Pour les conserver, elles ont décidé d’instaurer une dictature technique en supprimant un à un les instruments de l’état de droit par lesquels le peuple pouvait résister à leurs sombres desseins14. CQFD ? Pas tout à fait, Ô mes lecteurs attentionnés. Le sujet étant d’une importance vitale, il mérite une seconde livraison. Suite au prochain épisode…

Notes:

1. Purement fictif et ludique. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou des faits réels serait purement fortuite.

2. Je vous l’avais bien dit dans la note précédente, il s’agit d’un exemple théorique. Dans la pratique, les élus de souche n’auraient aucune réticence à ouvrir en grand le portefeuille des contribuables de souche pour soutenir la ZETeNIK parade.

3. N’est-ce pas la formule consacrée quand un forfait, un délit ou un crime est commis par un allogène ?

4. Des méthodes très proches de celles utilisées par Lénine et les Bolcheviques. Elles sont basées sur un pragmatisme radical, la pratique systématique du mensonge en situation de faiblesse et le recours à la violence en situation de force.

5. Notamment parce que la durée des décisions s’allonge. Autrement dit, elles deviennent de plus en difficiles à prendre et donc de plus en plus coûteuses. Ajoutons à cela que les politiciens consacrent de plus en plus d’énergie et de ressources à négocier avec les différents lobbies.

6. Et l’occultation/négation des vérités dérangeantes.

7. Source Yahoo Actualités, dépêche du vendredi 19 juillet 2002, 11H42, Controverse autour d’un amendement sur les gens du voyage. Propos tenus par Jean-Joël Lemarchand, premier adjoint au maire de Choisy-le-Roi.

8. Une des plus belles perles de la novlangue. Oui, vraiment, une perle fine et rare qui brillera longtemps au front du génie politique occidental.

9. Au FNB, nous avons souvent l’impression que Louis Michel est en mal de devises $$$$$$$

10. Si on peut encore parler de société…

11. C’est déjà le cas dans plusieurs communes de Bruxelles où les Belges de souche sont devenus minoritaires.

12. Concrètement, la force des cimeterres ne sera pas nécessaire pour contraindre les Belges de souche à payer l’impôt dus par les Dhimmis à l’islam. Dès que les islamistes seront assez nombreux en Belgarabia, leur compte sera réglé par… un simple vote à la majorité.

13. Par conséquent structurellement enclins à organiser les transferts sociaux en leur faveur.

14. Cf. L’éditorial du Bastion précédent.