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LES RACINES ISLAMIQUES DE
LA CIVILISATION OCCIDENTALE

L’idée de plus en plus souvent admise et même enseignée à l’école est que l’humanité doit beaucoup à l’Islam concernant sa contribution dans les sciences, les arts et la culture. Rendons à César ce qui appartient à César !

SPIRITUALITE DE L’ISLAM

Voyons quelques découvertes et caractéristiques souvent attribuées à l’Islam:

Les Arabes et les musulmans sont apparus sur la scène du monde en 630 P.C. quand les armées de Muhammad ont commencé leur conquête du Moyen-Orient : il s’agissait d’une conquête militaire, utilisant la force, et non d’une entreprise de missionnaires. Elle avait été autorisée par une déclaration de Jihad [1] contre les « Infidèles » que les musulmans pouvaient convertir et assimiler de force. Très peu de communautés indigènes du Moyen-Orient ont survécu à ces invasions, comme cela a été le cas des Assyriens [2], des Juifs, des Arméniens et des Coptes d'Egypte.

Par la conquête du Moyen-Orient, les arabes ont placé ces communautés sous un système de dhimmitude [3], où elles ont été considérées en tant que minorités religieuses (chrétiens, juifs et zoroastriens). Ces communautés ont dû payer un impôt (appelé un Jizzya en arabe) qui était, en fait, une pénalité pour être non-musulman, et qui se montait, en général, à 80% en période de tolérance et jusqu'à 150% en période d'oppression. Cet impôt avait été conçu pour forcer ces communautés à se convertir à l’Islam. [4]

ARCHITECTURE EN TERRE D’ISLAM

Les lignes de l’architecture arabe comprennent de nombreux dômes et voûtes. Les progrès scientifiques nécessaires à ces réalisations sont fréquemment attribués aux arabes. Pourtant, cette percée architecturale, fondamentale pour employer une forme parabolique au lieu d'une forme sphérique dans ces structures, a été faite par les Assyriens, plus de 1300 ans plus tôt, comme démontré par les sources archéologiques.

Un exemple frappant : Ste-Sophie de Constantinople a été inaugurée en 537. Elle se caractérise par une gigantesque coupole haute de 56 mètres et de 32 mètres de diamètre. Elle fut transformée en mosquée en 1453. Plusieurs architectes turcs furent exécutés pour n’avoir pas réussi à égaler Sainte Sophie.

Le plus grand architecte ottoman, Koca Mimar Sinan (1491-1588), un janissaire (chrétien d’origine, converti de force à l’islam pour devenir soldat d’élite), écrit dans ses mémoires : « Les architectes de quelque importance en pays chrétiens se prétendent bien supérieurs aux musulmans, parce que ceux-ci n’ont jamais rien réalisé qui puisse se comparer à la coupole de Sainte-Sophie. Grâce à l’aide du Tout-Puissant et à la faveur du Sultan, j’ai néanmoins réussi à bâtir, pour la mosquée du sultan Selim une coupole dépassant celle de Sainte-Sophie de quatre aunes pour le diamètre et de six pour la hauteur. » En réalité, il se trompait (volontairement ?) dans ses dimensions. De plus, il avait atteint ce résultat en insérant d’inesthétiques barres de fer horizontales dans le creux des arcades des demi-coupoles latérales, afin de neutraliser les poussées latérales provoquées par la grande coupole. La mosquée de Sélim à Edirne, jamais surpassée ultérieurement par un architecte musulman, fut terminée en 1575, plus d’un millénaire après Sainte-Sophie ! Il fallut deux fois plus de temps pour la construire que pour terminer son modèle.

MATHEMATICIENS ARABES

Les bases fondamentales des mathématiques modernes ont été établies, non pas des centaines, mais des milliers d'années avant l’islam, par les Assyriens et les Babyloniens qui connaissaient déjà le concept de zéro, le théorème de Pythagore, ainsi que de nombreux autres développements.

D’autres part, la mathématique indienne se manifeste brillamment dès le Ve siècle avec Aryabhata, premier grand mathématicien et astronome indien et apparaît indépendante de celle des grecs. Un autre mathématicien indien, Brahmagupta est sans doute le premier, dans des calculs commerciaux, à user des nombres négatifs. Il emploie les chiffres décimaux (graphisme très proche de nos chiffres actuels dits "arabes") et principalement le zéro dont l’apparition est un pas de géant en algèbre [4].

L'Inde subira les invasions musulmanes et les arabes adopteront les travaux des mathématiciens indiens. C’est ainsi que ces travaux indiens en mathématique, que les musulmans se sont appropriés [5], seront transmis par les Arabes (Maures) lors de leurs invasions en Espagne.

SAVANTS ARABES

Une écrasante majorité de ces savants (99%) étaient des Assyriens qui, dès le IVe siècle, ont commencé la traduction des connaissances grecques. Ils se sont intéressés à la science, à la philosophie et à la médecine. Socrate, Platon, Aristote, Galien et beaucoup d'autres ont été traduits en assyrien, et de là en arabe. Ce sont ces traductions que les Maures ont apporté en Espagne où elles ont été traduites en latin.

Dans le domaine de la philosophie, l’assyrien Edessa a développé une théorie de physique qui a rivalisé avec celle d'Aristote.

Un des plus grands accomplissements assyriens du IVe siècle a été la première université au monde, l'école de Nisibis, qui devint un centre du développement intellectuel au Moyen-Orient et a servi de modèle à la 1ère université italienne [6].

Quand les Arabes et l'Islam ont envahi le Moyen-Orient en 630, ils ont rencontré 600 ans de civilisation chrétienne assyrienne, avec un héritage riche, une culture fortement développée, et des établissements d'étude avancés. C'est cette civilisation qui est devenue la base de la civilisation arabe.

ASTRONOMES
ARABES

En fait, ces astronomes n'étaient pas des Arabes mais des Chaldéens et des Babyloniens qui, pendant des millénaires, ont été des savants réputés. Ces peuples ont été arabisés et islamisés de force, tellement rapidement que, dès le VIIIe siècle, ils avaient disparu complètement.

ARABES, VECTEURS DU PATRIMOINE

Cette question va au cœur de ce que représente la civilisation arabo-islamique. Une recherche intitulée « Comment la Science grecque est passée aux Arabes » [7] , énumère les traducteurs principaux de la science grecque. Des 22 disciples énumérés, 20 étaient des Assyriens, 1 était persan et 1 un Arabe.

ISLAM, RELIGION DE TOLERANCE…

En fait, les Ottomans étaient extrêmement oppressifs vis-à-vis des non-Musulmans. Par exemple, de jeunes garçons chrétiens étaient enlevés de force à leurs familles, habituellement à l'âge de 8-10, et installé dans des Janissaires où ils étaient convertis à l’islam et entraînés à combattre pour l'Etat ottoman. À quels accomplissements littéraires, artistiques ou scientifiques des Ottomans pouvons-nous nous référer? Nous pouvons, par contre, penser au génocide de 750.000 Assyriens, de 1,5 millions d'Arméniens et de 400.000 Grecs, lors de la première guerre mondiale par le gouvernement des "Jeunes Turcs" de Kemal. C'est là le visage vrai de l'Islam.

POETES ARABES

Il y a très peu de littérature en langue arabe à cette période : le Coran est le seul morceau littéraire significatif, tandis que la production littéraire des Assyriens et des juifs était très importante : en volume, la 3ème production des écrits chrétiens, après le latin et le grec, a été produite par les Assyriens en syriaque.

DETTE
OCCIDENTALE?

Malgré les évidences historiques et archéologiques, il y a une forte tendance à surestimer la dette de la civilisation occidentale vis-à-vis de l’Islam. Cette interprétation de l’histoire résulte des recommandations (1968) par «l’Académie de Recherche Islamique» qui a recommandé la publication de la mise en évidence de la civilisation islamique par rapport à la civilisation occidentale. [8]

La première vague de conquête islamique a englouti les terres chrétiennes jusqu’au Nord-Est de l’Arménie, l’Afrique du Nord, l’Espagne, jusqu’à Poitiers et l’Italie, jusqu’aux Alpes. Elle a débordé la Perse et atteint l’Indus. Les musulmans ont ainsi été en contact avec les civilisations les plus prestigieuses. Cependant, le sentiment de supériorité des Bédouins conquérants a été mis à rude épreuve quand leurs conquêtes ont révélé des civilisations brillantes, ce qui les a menés à renforcer l’humiliation constante des dhimmis.

L’un des principes de base de l’Islam est enraciné dans le dogme de perfection de l’oumma, perfection qui la lie à l’obligation sacrée de diriger le monde entier. Tout emprunt à une autre civilisation est interdit, puisque la perfection n’emprunte pas de l’imperfection sans s’abîmer elle-même. Les musulmans sont donc engagés dans une campagne de destruction et d’appropriation des cultures et des communautés, des identités et des idées (comme le montre l’exemple de la destruction des statues bouddhistes en Afghanistan, ou de celle de Persépolis, par l'Ayatollah Khomeyni). C'est un modèle de comportement qui s’est inlassablement reproduit, depuis l'arrivée de l'Islam, il y a 1400 ans, et qui est amplement décrit dans les sources historiques.

La civilisation arabo-islamique n'est pas une force progressive, c’est est une force régressive. La civilisation islamique dont on vante la réputation n'était pas un accomplissement d'Arabes ou de musulmans, c'était un accomplissement assyrien que les Arabes se sont appropriés et qu’ils ont plus tard perdu quand ils ont épuisé la source de vitalité intellectuelle qui l'avait propulsé, par la conversion obligatoire des Assyriens à l’Islam.

Lorsque cette communauté a diminué au-dessous du seuil critique, elle a cessé de produire la force intellectuelle motrice de la civilisation islamique. C’est alors que le prétendu "âge d'or de l'Islam" s'est terminé.

Depuis plus de 1300 ans et encore actuellement, il y a des minorités et des nations qui luttent pour leur survie dans le monde musulman au Moyen-Orient, en Afrique (Assyriens, Arméniens, Coptes, juifs, soudanais méridional, Ethiopiens, Nigériens…), en Asie (Inde, Pakistan, Chine) et en Indonésie. Ces populations se battent contre l'impérialisme arabe et le totalitarisme islamique, qui tentent d'éliminer toutes autres cultures, religions et civilisations. Devant la désinformation actuelle, il importe à chacun de faire son propre travail de recherche et de garder son esprit critique.

M.S.

[1] Jihad - Guerre sainte

[2] Les Assyriens se sont installés la première fois à Nineveh, un des villes assyriennes principales, en 5000 A.C.N. ce qui est 5630 ans avant que les Arabes ne soient venus dans ce secteur. Même le mot "Arabe" est un mot assyrien, signifiant "Occidental".

[3] Dhimma – Pacte de protection pour la vie et la sécurité, établi à la fin du jihad en acceptation de la soumission.

[4] Victor J. KATZ, A HISTORY OF MATHEMATICS, an introduction, Addison-Wesley Educational Publishers -1999

[5] Neugebauer , L'histoire des mathématiques babyloniennes

[6] Arthur Voobus, Les Statuts de l'Ecole de Nisibis.

[7] De Lacy O'Leary, D.D. , Comment la science grecque est passée aux Arabes, Routledge & Kegan Paul, Londres, 1949

[8] Islam et Dhimmitude, Bat Ye’or, Madison – Teaneck, Fairleigh Dickinson University Press, Lancaster, UK: Gazelle Book Services Ltd., 2002